« J’étais un lecteur avide de Sartre, du Nouveau Roman, et Gide, je le trouvais casse-pieds. J’ai eu tort en partie parce que quand même, son écriture est quelque chose de lumineux, mais du lumineux sur une texture à la fois fragile et en même temps mince… je l’ai relu intégralement beaucoup plus tard… »
« C’est une question qui dépasse Gide, dans la mesure où tout le monde le reconnaît, tout le monde le dit : on lit moins. Je ne dit pas qu’on lise plus, mais on lit moins, et Gide est également touché. C’est difficile de préciser ce type de question parce qu’évidemment il y a moins de lecteurs, mais il y a aussi peut-être des lecteurs qui sont meilleurs… »